Circuit court : Salomon relocalise sa production de chaussures en France et inspire l’industrie

L'industrie française vit un tournant majeur avec le retour historique de Salomon sur le territoire national. Cette marque emblématique du sport français relance sa production de chaussures dans l'Hexagone après 50 années de délocalisation, marquant un changement significatif dans le paysage industriel français.

Le grand retour de Salomon sur le territoire français

Après cinq décennies de production à l'étranger, Salomon fait le choix audacieux de rapatrier sa fabrication de chaussures en France. Cette décision s'inscrit dans une stratégie globale de réindustrialisation, soutenue par un investissement conséquent de 10 millions d'euros.

Une nouvelle usine ultra-moderne dans la région Auvergne-Rhône-Alpes

L'usine ASF 4.0, implantée à Ardoix en Ardèche, représente l'avenir de l'industrie française. Sur une surface de 2000m², cette unité de production hautement automatisée vise une production ambitieuse de 500 000 paires de chaussures annuelles d'ici 2025. La robotisation avancée permet déjà la fabrication de 450 paires quotidiennes.

Les motivations stratégiques derrière cette relocalisation

Cette décision s'appuie sur plusieurs facteurs économiques majeurs. La multiplication par cinq des coûts de fret maritime entre la Chine et la France entre 2019 et 2021 a pesé dans la balance. Le partenariat avec Chamatex, entreprise au chiffre d'affaires de 30 millions d'euros, assure 50% de la production, créant ainsi une synergie industrielle locale forte.

Les avantages économiques et environnementaux de la production locale

La relocalisation de la production de chaussures Salomon en France marque un tournant significatif dans l'industrie textile française. L'entreprise investit 10 millions d'euros dans une usine automatisée ASF 4.0 située en Ardèche, avec l'ambition de produire 500 000 chaussures annuellement d'ici 2025. Cette initiative s'inscrit dans une démarche innovante, associant Chamatex, Babolat et Millet dans un partenariat industriel novateur.

Réduction de l'empreinte carbone liée au transport

L'installation de l'usine ASF 4.0 à Ardoix représente une avancée majeure pour l'environnement. La multiplication par cinq des coûts de fret maritime entre la Chine et la France entre 2019 et 2021 a renforcé la pertinence de cette décision. L'automatisation permet une production quotidienne d'environ 450 paires de chaussures, optimisant les ressources tout en limitant les distances de transport.

Création d'emplois et dynamisation du tissu économique local

L'usine de 2000 m² génère des retombées positives pour la région Auvergne-Rhône-Alpes. Le projet prévoit la création de 50 emplois qualifiés sur trois ans, stimulant l'économie locale. La robotisation et l'automatisation des processus permettent une production efficace, avec un chiffre d'affaires potentiel estimé entre 10 et 15 millions d'euros. Cette initiative participe à la renaissance industrielle française dans le secteur du textile technique, renforçant l'expertise nationale dans les technologies Smart Textiles.

L'innovation technologique au service de la production française

L'industrie textile française entre dans une nouvelle ère avec le retour historique de la production Salomon sur le territoire national. La marque, après 50 ans de fabrication à l'étranger, inaugure une usine ultramoderne en Ardèche. Cette initiative s'inscrit dans un projet ambitieux d'investissement de 10 millions d'euros, en partenariat avec Chamatex, Babolat et Millet.

Des processus de fabrication automatisés et performants

L'usine ASF 4.0, située à Ardoix, représente une avancée majeure dans l'industrie de la chaussure de sport. Sur une surface de 2000m², cette unité de production automatisée génère actuellement 450 paires de chaussures quotidiennement. Les installations robotisées permettent d'optimiser la production tout en maintenant une qualité constante. L'objectif est d'atteindre une capacité de 500 000 paires annuelles d'ici 2025, générant un chiffre d'affaires estimé entre 10 et 15 millions d'euros.

La formation des équipes aux nouvelles technologies

La digitalisation de la production nécessite une main d'œuvre qualifiée. L'usine fonctionne actuellement avec une dizaine de salariés par jour, formés aux technologies avancées. Le projet prévoit la création de 50 emplois qualifiés dans les trois prochaines années. Cette initiative s'inscrit dans une stratégie de relocalisation industrielle, stimulée notamment par l'augmentation des coûts de transport maritime entre la Chine et la France, multipliés par cinq entre 2019 et 2021.

Un modèle inspirant pour l'industrie française

L'entreprise Salomon marque l'histoire en relocalisant sa production de chaussures en France après 50 ans d'absence. Cette initiative s'inscrit dans un projet d'envergure avec l'usine ASF 4.0, située à Ardoix en Ardèche. L'investissement de 10 millions d'euros a permis la création d'une unité de production hautement automatisée, capable de produire 500 000 paires de chaussures annuellement d'ici 2025.

Les enseignements à tirer de cette initiative

La réussite de ce projet repose sur plusieurs facteurs clés. Le partenariat stratégique avec Chamatex, entreprise spécialisée dans le textile technique, assure 50% de la production. L'automatisation avancée permet une production efficace de 450 paires quotidiennes avec une équipe réduite. L'augmentation des coûts de transport maritime entre la Chine et la France, multipliés par cinq entre 2019 et 2021, justifie économiquement cette relocalisation.

Les perspectives pour d'autres marques du secteur

Cette initiative ouvre la voie à d'autres acteurs du secteur. Babolat et Millet ont déjà rejoint l'aventure en tant que partenaires et actionnaires d'ASF 4.0. Le projet génère la création d'emplois qualifiés, avec 50 postes prévus sous trois ans. L'usine de 2000m² envisage une extension, démontrant le potentiel de croissance. Cette réussite illustre la viabilité d'un modèle industriel français associant innovation technologique et production locale.

Le partenariat stratégique avec Chamatex et les investissements réalisés

La marque Salomon marque son grand retour en France avec une initiative industrielle novatrice. Cette relocalisation, réalisée avec le partenaire Chamatex, illustre une transformation majeure dans l'industrie de la chaussure de sport. Le projet s'inscrit dans une vision moderne de la production française, alliant technologie et savoir-faire local.

Un investissement de 10 millions d'euros pour une production automatisée

L'usine ASF 4.0, installée à Ardoix en Ardèche, représente un investissement total de 10 millions d'euros. Cette unité de production de 2 000 m² intègre des systèmes robotisés permettant la fabrication de 450 paires de chaussures quotidiennement. La structure emploie actuellement une vingtaine de personnes et prévoit la création de 50 emplois qualifiés sur trois ans. L'objectif ambitieux vise une production annuelle de 500 000 paires à l'horizon 2025.

La collaboration avec Babolat et Millet pour optimiser les ressources

Le projet industriel s'appuie sur un modèle collaboratif innovant. Babolat et Millet participent activement à cette initiative en tant que partenaires et actionnaires d'ASF 4.0. Cette mutualisation des ressources permet d'optimiser l'utilisation des installations automatisées. La société Chamatex, forte de ses 120 salariés et de son chiffre d'affaires de 30 millions d'euros, assurera 50% de la production pour Salomon. Cette synergie entre acteurs majeurs du sport français génère un potentiel de chiffre d'affaires estimé entre 10 et 15 millions d'euros.

L'impact sur le marché français du textile technique

La décision de Salomon de rapatrier sa production en France marque un tournant significatif dans l'industrie textile française. Cette initiative, concrétisée par un investissement de 10 millions d'euros dans l'usine ASF 4.0 en Ardèche, illustre une nouvelle dynamique industrielle. Le projet, mené en collaboration avec Chamatex, Babolat et Millet, vise une production ambitieuse de 500 000 chaussures annuelles d'ici 2025.

La réorganisation des chaînes d'approvisionnement textiles

L'évolution des coûts logistiques, notamment la multiplication par cinq des frais de transport maritime entre la Chine et la France entre 2019 et 2021, a accéléré cette transformation. L'usine ASF 4.0, établie sur 2 000 m², représente un modèle industriel novateur fondé sur l'automatisation. La production actuelle atteint 450 paires quotidiennes, orchestrée par une équipe réduite mais hautement qualifiée.

Les retombées économiques pour la filière textile française

Cette relocalisation génère des effets positifs multiples pour l'industrie textile nationale. Le projet prévoit la création de 50 emplois qualifiés sur trois ans, avec un chiffre d'affaires estimé entre 10 et 15 millions d'euros. L'initiative stimule également l'innovation technologique, notamment dans les Smart Textiles et la production automatisée. La région Auvergne-Rhône-Alpes soutient activement ce développement, comme l'atteste sa participation financière de 300 000 euros au projet Chamatex.

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